Hypnose et arrêt du tabac

(25/08-2014) – Il y a une foule de méthodes pour arrêter de fumer : Acupuncture, patches, chewing-gums, médicaments… Ces méthodes ont plus ou moins de succès.

Entre les méthodes les plus efficaces, on trouve l’acupuncture et l’hypnose. Toutes deux des méthodes avec des résultats stupéfiants.

C’est prouvé plus d’une fois, le taux de réussite de l’arrêt du tabac avec l’hypnose, six mois après, oscille entre 50 % et 60 %, tout dépend de l’étude.

Ça vient d’où, cette réussite ?

Elle vient du fait où le plus gros problème lors de l’arrêt du tabac n’est pas seulement l’abstinence physique, mais l’abstinence psychologique (j’ai fumé 45 cigarettes par jours pendant presque 20 ans plus la pipe, donc j’ai une bonne idée des effets du sevrage).

Oui, bien sûr, il y a quelques symptômes physiques, mais là n’est pas le problème.

En fait, lorsqu’on commence à fumer, on crée de nouveaux contacts dans notre cerveau. Ces « contacts » roulent à la nicotine.

Maintenant, l’être humain est bien fait comme machine, car nous avons des réserves de tout : sucre, eau, graisse (pas de commentaires, merci !). Nos organes sont plus gros que nécessaire : foie, cœur, poumons, etc. En gros, nous pouvons supporter pas mal de choses et vivre sur une réserve en cas de coup dur. On peut parfaitement vivre avec la moitié d’un foie ou un seul poumon, même si on ne fonctionne pas de façon optimale.

Lorsque nous arrêtons de fumer, nous privons ces contacts de leur carburant : la nicotine.

Au départ, ils paniquent un peu et quand ils voient que cela ne leur apporte pas de nicotine, ils tirent sur la réserve.

En général, on a une réserve qui dure entre trois semaines et trois mois (le plus souvent, un peu plus de deux mois). Donc en fait, pendant les premiers temps, lorsqu’on trouve que c’est si dur… Ce n’est pas physique, mais psychologique.

Cela ne veut pas dire que c’est moins sérieux, bien au contraire. Ça complique les choses, car on ne peut pas agir physiquement (comme sur une douleur), sans risquer d’énormes effets secondaires psychologiques.

Donc on utilise des patchs, des cigarettes électroniques, des chewing-gums à la nicotine… Et après, rebelote, il faut sevrer ces nouvelles habitudes.

De là l’efficacité de l’hypnose : L’hypnose agit directement sur la psyché. Oui, bien entendu il va y avoir des petites gênes physiques lors de l’arrêt. Le truc est de ne pas leur donner tant d’importance.

Parce que bien sûr, vu que je ne fais rien comme les autres (enfin, si peu), la méthode que j’utilise pour l’arrêt du tabac n’est pas celle utilisée par la plupart des hypnothérapeutes.

Le programme

Et c’est là qu’est mon secret derrière mon taux de réussite qui est non pas de 50 % ou de 60 %, mais de 81,5 %. Et pas après six mois, mais après cinq ans.

En fait, je fais plusieurs choses :

1. J’entraîne le patient à l’auto-hypnose. C’est une méthode qu’on peut utiliser soi-même pour se renforcer dans l’arrêt du tabac, mais aussi contre beaucoup d’autres choses : les angoisses, les phobies, pour se donner du courage dans certaines situations, pour s’entraîner à la visualisation, etc.

2. Je travaille avec un renforcement de l’ego. Le plus souvent, ce que les patients m’ont donné comme argument c’est « le manque de volonté ». Manque de volonté… Vraiment ? Ou manque de confiance en soi ? Donc j’inclus un renforcement de l’ego dans mon traitement. Chose que le patient peut utiliser pour l’arrêt du tabac, bien entendu, mais également pour les situations dans lesquelles on manque de confiance en soi.

3. Je ne travaille jamais avec les interdictions (ou le dégoût). S’il y a une chose que nous savons tous, c’est que nous pouvons toujours surmonter un dégoût. En fait, la première fois où on a avalé la fumée, c’était dégueulasse pour la plupart d’entre nous. Et si on veut vraiment recommencer à fumer, ce n’est pas l’idée de dégoût qui nous en empêchera. J’ai arrêté de fumer en 1993 et ce qui m’empêche de reprendre une clope, ce n’est pas le fait que je risque de tousser et de cracher mes poumons, mais parce que le gain de continuer à être non-fumeur est bien plus élevé et vaut bien plus le coup que ce que je gagnerai par recommencer.

C’est donc, entre autres, une partie de mon secret pour mon système pour arrêter de fumer (et pour bien d’autres choses, d’ailleurs).

Bon, ce n’est pas tout mon secret. Je ne vais pas tout vous dire, c’est mon gagne-pain, quand même, hein ? Mais c’est une partie.

Et donc, pour ce qui est de l’arrêt du tabac, j’ai transposé mon système en fichiers sons et fichiers textes. C’est maintenant tout un programme à télécharger.

Tout le programme… ou presque !

Il manque un fichier : le fichier final qui est celui qui vous fait arrêter de fumer. Il n’est pas dans le paquet, car ce n’est pas un fichier standard. Autant on peut standardiser la méthode d’apprentissage de l’auto-hypnose, la méthode de relaxation et de renforcement de l’ego, autant, dans mon programme, il est impossible de standardiser l’arrêt du tabac.

Il me faut des informations.

Il y a donc un questionnaire et, grâce à ces réponses, je compose la séance finale adaptée à chacun(e).

Le gros avantage de ce système de fichier, c’est que vous pouvez vous le procurer quand vous voulez, et lancer le programme quand vous en avez envie. Vous pouvez télécharger les fichiers en juillet, et effectuer le programme en janvier. Vous pouvez répondre au questionnaire en août ou en janvier ou quand le cœur vous en dit et vous pouvez lancer le programme lorsque vous avez le temps et la motivation. Si quelque chose vous interrompt, tant pis. Interrompez et reprenez à zéro plus tard. Pas de soucis.

Choisissez votre pack ci-dessous. Il y en a deux, un pour hommes, un pour femmes.

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